Le laboratoire national de Los Alamos a même mené des recherches approfondies et développées sur un vaccin contre le VIH.
Le surintendant des systèmes scolaires de Los Alamos a dit qu’il trouve le taux élevé de parents exemptant leurs enfants de vaccination «curieux», étant donné qu’il s’agit d’une «communauté scientifique et assez alphabétisée.”
Alors que les médias grand public continue à venir avec toutes sortes de raisons pour dire pourquoi les “anti-vaxxers” ne vaccinent pas leurs enfants, une communauté de scientifiques continue de s’abstenir à cette pratique, au grand dam des militants pro-vaccins. Los Alamos n’est pas la seule; le pourcentage de Santa Fe des enfants qui ne reçoivent pas de piqures était à quelques points de retard, à 2,1 pour cent.
Anna Pentler, le chef de la vaccination Coalition Nouveau-Mexique (un groupe pro-vaccin) semble penser que le fait de ne pas vouloir injecter leurs enfants avec des adjuvants toxiques et des métaux lourds est un “problème émotionnel,” et non pas une question d’éthique ou de moral. Elle dit que, si la science pouvait être «99-1» en faveur des vaccins, l’histoire anecdotique d’un parent concernant la façon dont les vaccins lèsent son enfant pourrait facilement influencer l’opinion d’un autre parent.